Les douleurs et maladies invisibles : ces maux qui isolent
- Maïté
- 12 avr.
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 14 avr.
Quand les douleurs sont invisibles mais bien présentes, il est essentiel de trouver un espace ou elles peuvent enfin être accueillies, entendues, apaisées.

Et si l’on écoutait enfin ce que le corps murmure en silence ?
Il existe des douleurs qu’on ne voit pas.
Pas de plaie, pas de bandage, pas toujours un diagnostic précis. Et pourtant… elles sont bien là. Intenses. Persistantes. Parfois invalidantes.
Ces douleurs, souvent appelées maladies invisibles, peuvent transformer le quotidien en une lutte invisible, dans un silence pesant et une profonde solitude.
Quand les mots manquent, que les diagnostics tardent ou s’empilent sans réponse claire, on entre dans ce qu’on appelle l’errance médicale.
On cherche, on espère, on s’épuise. On passe de spécialistes en examens, sans toujours être entendu.e, ni reconnu.e.
Et pourtant, quelque chose en soi continue de souffrir, de crier doucement. L’errance médicale n’est pas seulement un parcours de soins : c’est un chemin souvent solitaire, fait de doutes, d’incompréhensions… mais aussi de force silencieuse.
Des maux silencieux, mais bien réels
De nombreuses personnes, adultes ou enfants, vivent avec ces troubles chroniques peu compris :
SED (syndrome d’Ehlers-Danlos)
SAMA (syndrome d’activation mastocytaire)
Fibromyalgie
Endométriose
Syndrome de fatigue chronique (EM/SFC)
Douleurs neuropathiques ou musculo-squelettiques
Troubles digestifs chroniques, etc.
À cela s’ajoutent des états de grande hypersensibilité, de stress post-traumatique, ou des émotions bloquées qui marquent le corps en profondeur.
Quand les mots manquent, c’est souvent le corps qui prend le relais. Il exprime ce qui a été tu, ce qui déborde, ce qui appelle à être entendu autrement.

Quand le corps souffre en silence, le lien à l’autre peut se distendre
Fatigue, douleurs chroniques, incompréhensions… Peu à peu, les sorties s’annulent, les appels se font plus rares. Ce repli n’est pas un choix : c’est souvent une nécessité. Mais derrière les volets fermés, il y a des êtres sensibles, épuisés, en quête de présence, de reconnaissance, de lien vrai. Reconnaître cet isolement, c’est déjà commencer à le réparer
Certains enfants portent une douleur qu’on ne voit pas.
Fatigue, hypersensibilité, maux du corps… mais rien qui se voit sur une radio ou dans les bulletins. Alors ils sont parfois mis à l’écart, jugés "fragiles", "différents", "trop sensibles". Mais derrière leur silence ou leur agitation, il y a un appel à la douceur, à l’écoute, à un espace où ils peuvent simplement être.

Sortir de l’isolement, retrouver une voie douce
Ce que je vous propose à Pause Zen, c’est un espace pour relâcher. Un lieu où vos douleurs ne seront ni minimisées, ni jugées.
Ici, vous pouvez souffler, vous déposer, vous reconnecter à vous-même.
Mon accompagnement s’appuie sur :
une écoute sensible et respectueuse de votre vécu,
un travail corporel doux à travers le toucher, la présence et l’écoute des tissus,
des soins énergétiques et intuitifs,
une approche globale, qui prend en compte le corps, les émotions, l’âme.
Chaque séance est ajustée avec finesse à votre rythme, à vos besoins du moment.
Un pas vers l’apaisement
Vous n’avez pas à tout porter seul.e.
Il existe des chemins plus doux pour aller mieux, même quand on ne peut pas tout guérir.
Un mieux-être est possible. Une légèreté nouvelle. Une respiration.
Si vous ressentez l’appel d’un espace où vous pouvez simplement être, je vous accueille avec tout ce que vous êtes.
Maïté – Pause Zen
Accompagnante du vivant vers la douceur, l’équilibre et la guérison
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